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Des célébrités recréées dans Starfield

Petite devinette pour commencer cet article : qu’ont en commun David Bowie, Shrek, Mike Ehrmantraut et Tony Soprano ? La réponse est simple : ils ont tous un avatar virtuel qui a été recréé dans Starfield.

Mais plantons le contexte. Starfield, c’est le tout nouveau jeu vidéo “triple-A” (similaire au terme “blockbuster” dans le monde du cinéma) lancé par Microsoft et publié par un studio de développement légendaire nommé Bethesda, à qui l’on doit notamment l’immense succès planétaire “Skyrim”. Starfield, contrairement à ce dernier, se déroule dans l’espace et propose aux joueur·euses de devenir des explorateurices du cosmos dans un environnement de jeu ouvert, où vous pouvez visiter des milliers de planètes et de lunes à travers une histoire palpitante.

Sans surprise, le jeu rencontre un gigantesque succès. Le jour de son lancement, plus d’un million de joueur·euses se sont aventuré·es dans son univers, selon Phil Spencer, le patron de Microsoft Xbox. Nombre de ces cosmonautes ont été impressionné·es par le système de création de personnages extrêmement poussé, ce qui a inspiré certain·es à modéliser… des célébrités avec un certain brio.

Parmi les stars représentées, on trouve notamment un David Bowie franchement plutôt réussi.

Un Mike Ehrmantraut (l’acteur principal de Breaking Bad) plus vrai que nature. 

Un Tony Soprano très convaincant.

Et même un Shrek plutôt… bizarre.

JCVD, la guest-star ultime de Mortal Kombat 1 

Le saviez-vous ? Lorsque le premier opus de Mortal Kombat était encore en développement (c’était en 1990, ça ne nous rajeunit pas), le studio à l’origine du jeu de baston avait une idée précise : faire de la star des films de bagarre de l’époque, Jean-Claude Van Damme, le personnage principal du jeu. Malheureusement, ce rêve ne s’est jamais concrétisé, car JCVD n’a jamais répondu aux sollicitations qui lui étaient envoyées. Il faut dire qu’à l’époque, notre Jean-Claude national était à l’apogée de sa carrière, tournant dans des films comme “Blood Sport”, “Full Contact” ou encore “Double Impact”.

Mais ce cruel manque est enfin comblé. En effet, JCVD débarque dans le remake du mythique jeu vidéo sorti il y a peu. Sous les traits de l’un des personnages principaux de la franchise, le fantasque Johnny Cage (dont les initiales “JC” n’ont évidemment pas été choisies par hasard), l’acteur belge est modélisé tel qu’il était il y a une grosse vingtaine d’années. Un design qui est d’ailleurs déjà salué par les joueur·euses qui voient en lui LE personnage incontournable de ce “reboot”.

Un tiers du globe hors de la toile

Cependant, tout n’est pas aussi réjouissant dans le monde numérique. Si de nombreux·euses chanceux·euses peuvent s’adonner à leurs passe-temps favoris sur Internet, un tiers de la population mondiale n’a pas ce droit qui nous paraît aujourd’hui élémentaire. Selon l’Union internationale des télécommunications, 2,7 milliards de personnes restent non-connectées au réseau mondial. Un chiffre astronomique qui, selon Doreen Bogdan-Martin, la secrétaire générale de l’UIT, “n’avance pas dans la bonne direction”.

Le seul constat encourageant est l’amélioration notable de la connectivité dans les pays en développement. Dans certains d’entre eux, le taux de connectivité a connu une augmentation impressionnante de près de 20% en seulement un an, démontrant ainsi l’impact positif des investissements et des efforts déployés pour réduire la fracture numérique dans ces régions.

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